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Fragments - Alexandre LABORIE

Au minimum (Alexandre LABORIE / Kentin JIVEK)

22 Juin 2012, 17:52pm

Publié par laborie.fragments

Au minimum (Alexandre LABORIE / Kentin JIVEK) by Alexandre Laborie

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Ecoutez-Voir...

22 Juin 2012, 16:36pm

Publié par laborie.fragments

Je souhaite vous présenter la Compagnie "Ecoutez-Voir" dont je fais partie et pour laquelle j'ai écrit "la planète blanche": un conte musical, tout public, pour deux percussionnistes et une chanteuse.

La musique est composée par le talentueux Benoît Barrail.

Cette aventure est une belle histoire d'amitié qui réunie sur scène Lucas MAZERES (Théâtre et Orchestre National du Capitole, Orchestre Philharmonique du Maroc...), Guillaume ITIER (percussionniste de l’Orchestre National de Lyon) et Anne Laure TOUYA (ensemble Rues de Seine, Balkan Project, Quartet Sfora).

 

Notre site internet vient d'être mis à jour.

Vous y trouverez des photos, la biographie des artistes, des articles de presse, un large extrait vidéo ainsi que des extraits des chansons (rubrique MEDIA)

Voici l'adresse: www.ecoutezvoir.net

 

Par ailleurs, sachez que nous sommes à la recherche de lieux pour jouer ce spectacle. Si vous avez des idées, n'hésitez pas à m'en faire part !!

 

A bientôt

Alexandre

 

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Marielle Pécon / Yellgraphik Graphiste Freelance www.yellgraphik.com

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Trésors cachés

17 Juin 2012, 14:46pm

Publié par laborie.fragments

J’ai cru voir dans tes yeux mille bonheurs possibles
En quelques mots fugaces échangés avec toi
J’ai rêvé d’une étoile qui serait accessible
Ce partage éphémère m’a redonné la foi

Mais ton cœur est ailleurs, dans d’autres certitudes
Tu savoures un amour très longtemps attendu
Le constat est amer et la leçon est rude
Mon désir est tout seul et je me sens perdu.

Je voudrais te parler d’un monde qui existe
Tu n’en soupçonnes pas l’admirable beauté
Le bien être présent te paraîtrait bien triste
Si tu voulais goûter la belle liberté.

Celle qui bercerait nos souffles étonnés
Par l’ardeur imprévue de nos cœurs indociles
Celle que nos corps ne pourraient raisonner
Occupés qu’ils seraient à fêter cet asile.

Je t’invite à la vie, je t’invite à l’audace
A la célébration de ces trésors cachés
Sur ta bouche hésitante je dépose en préface
Un baiser, le premier, nous voici arrivés.

Alexandre LABORIE

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