Il souffle sur le port
Un vent de solitude
Un homme fait du sport
Comme à son habitude
Petit point vif, obscur
Jouant avec la brume
Il dessine l’azur
Léger comme l’écume
Où va donc son esprit ?
Vers ses failles secrètes ?
Ses rêves incompris ?
Mais soudain, il s’arrête
Dans la maison carrée
Le temps est suspendu
La chambre est éclairée
Le marcheur attendu.
Alexandre LABORIE
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Je n’ai jamais fui les silences
Je m’y réfugie bien souvent
Mais celui qui suit ton absence,
Il m’assassine à chaque instant.
Mon corps se nourrit nuit et jour
A l’empreinte de tes caresses
Ton fantôme me tourne autour
Mais je suis seul dans ma tristesse.
Ton manque est un cri enragé
Qui pourtant, jamais, ne dépasse
Le seuil de ta porte fermée
Alors, lentement, il s’efface.
Tu peux me plonger dans l’oubli
Moi je conserve ma passion
Notre chant, je le garde en vie
Je t’aime, au diable la raison...
Alexandre LABORIE
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