Des pays ahurissants
Je mouille ma tête dans les étoiles.
Je nage au cœur de ce magma puissant
Dans cette ébullition je mets les voiles
Je brûle en des pays ahurissants.
Leurs paysages sont mes refuges
Car nos chemins accidentés
Se comprennent, jamais ne se jugent
Nos rêves ont une parenté.
Tout ce qui ne pouvait s’expliquer
Se révèle dans un silence
Les problèmes les plus compliqués
Se résolvent dans l’évidence.
Oh !, viens…rejoins-moi dans mes bras
Même si ce n’est qu’une nuit
Envoie valser ton embarras
Le monde est à nous aujourd’hui.
Alexandre LABORIE